Ha ! Combien je peux payer pour c'est temps-ci.
M'affirmer ne fait pas le bonheur de tout le monde. J'ai si longtemps essayé de limiter les chicanes, de ne pas froisser personne, de zigzaguer parmi les fâchés, les boudeurs, les manipulateurs, là, j'essaie de prendre vraiment ma place et je me faire dire ENCORE, que j'ai changé, que je me fais manipuler et que ce n'est pas moi, tout ça.
Hé bien! Je prends ma place. À 40 ans (presque).. mère de deux beaux enfants, épouse comblée (oui, il n'est pas parfait et il apprend comme moi), je reste convaincue que je fais les bons choix POUR MOI...
Oui, je vis avec... comme on dit!
HA... j'ai douté, réfléchis. J'ai été toute mêlée. J'en ai pleuré et ris. C'est pas facile de faire face. De finir par trouver ce qui ne va pas, de trouver une solution et SURTOUT D'Y FAIRE FACE.
La peur m'a envahie à me rendre malade. Et là, le doute s'installe de nouveau.
Et pourtant. Une fois la décision prise. Le geste posé. Combien je me sens plus légère. J'y crois. Je suis certaine que c'est la bonne. Il le faut. J'ai tellement souffert.
Voilà. Ça suffit! Je subis les contre coups et vlan! dans les dents. Hé oui, il y a toujours le coté positif et le coté négatif de toutes les prises de décisions. Quelque fois, les cotés négatifs sont moindres mais présent et stagnent là où ça fait mal.
Je m'entoure d'amour le plus possible. Je me change les idées et j'essaie de faire passer la pilule.
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